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Hôpital Nuovo Regina Margherita

Hôpital Nuovo Regina Margherita

Les origines

L'hôpital du Nuovo Regina Margherita, exposé sur la place San Cosimato, est à proximité de l'ancienne église de San Cosimato du Xe siècle. Cette partie ancienne s'articule autour des deux cloîtres, le premier du XIIIe siècle tandis que le second du XVe siècle. Les sources nous disent la date et le nom du fondateur de l'Église: dans le Regesto Farfense on trouve comme date le Xe siècle et le fondateur serait Benedetto Campagna, un noble romain qui fonde le monastère pour les saints Cosma et Damiano. Cosma et Damiano étaient deux frères médecins, appelés anargiri (c'est-à-dire sans argent, car ils soignaient les pauvres gratuitement) décapités et enterrés sous Dioclétien en 303 près d'Antioche. Une plaque retrouvée sur ce site en 1892 nous informe également que la construction était terminée en 1069, année de la consécration du monastère par le pape Alexandre II. Il a été occupé par différents groupes: par les bénédictins camaldules en 1229, par les Poverelle, ou Clarisse, de Santa Chiara à partir de 1234 (par la volonté du pape Grégoire IX, peut-être à cause de la mauvaise gestion précédente confiée aux bénédictins). Grâce à l'argent de l'abbesse Jacopa Cenci, le bâtiment et l'église sont rénovés. En 1475, le pape Sixte IV, à cause de l'instabilité de la structure, il le fait reconstruire, avec une partie du monastère aussi. En 1891, le monastère, de siège conventuel, devient un hospice après l'acte de transfert et de livraison du monastère à la municipalité de Rome. Après cette date, la structure subit de nombreuses transformations: au début comme hôpital pour les personnes âgées malades et nécessiteuses, puis elle devient l'Hospice Umberto I à San Cosimato, tandis qu'en 1925 elle devient partie des Instituts Unis d'Assistance et de Charité de Rome; pendant les années soixante, on commence la construction de l'hôpital spécialisé en orthopédie et chirurgie rénové par l'architecte Alegani et l'ingénieur Secchi, et inauguré en 1970 sous le nom d'Ospedale Nuovo Regina Margherita, aujourd'hui toujours en activité.

En marchant dans l’histoire

Maintenant, le seul signe de la présence de l'ancien monastère sur la place homonyme de San Cosimato est le gracieux porche d'entrée  du XIIe siècle, qui permettait autrefois d'accéder à l'ensemble monastique. L'ensemble du complexe est très intéressant car il raconte siècles d'histoire de l'art: à l'intérieur de la cour triangulaire, au centre, on trouve une fontaine construite en 1731 en rassemblant diverses trouvailles romaines.

L'église est une petite salle à nef unique couverte de fresques, pourtant très ruinés, réalisés par de modestes artistes du XIXe siècle. Sur le maître-autel, il y a une icône moderne de style byzantin qui reprèsente la Vierge et l'Enfant: il s'agit d'une copie car l'original, du XIIIe siècle, a été transporté à l'Institut Central de Restauration; à côté du maître-autel, il y a une fresque détachée en représentant la Vierge avec San Francesco et Santa Chiara, œuvre d'Antonio del Massaro da Viterbo, aussi appelé Pastura, élève de Pinturicchio; cette œuvre vient de l'église de Santa Maria del Popolo, avec un certain nombre d'objets en marbre qui composent l'autel de la chapelle voisine de Santa Severa, et ces parties en marbre du XVe siècle sont attribuées soit à Bregno, soit à Gian Cristofaro Romano.

Le monastère possède deux cloîtres, le premier, médiéval, qui date autour de 1240, dont les murs sont enrichis d'une série de trouvailles en marbre qui vient généralement des différentes phases de construction/démolition du complexe. Le second cloître, plus haut que le premier, a été construit dans l'époque de Sixte IV mais, malheureusement, l'abandon et la mauvaise emploi de l'édifice l'ont endommagé et ça a rendu sa lecture et sa compréhension difficiles. Sous les arcades il y a des épigraphes, dont celles de l'abbé Odimondo, Margherita Maleti et Alba Ermenegilda Acquaroni, l'abbesse qui a réalisé des travaux en 1756, et aussi les fragments d'inscriptions, chapiteaux et sarcophages sont très intéressants.

L’architecture du complexe

Le complexe est une structure composée de bâtiments médiévaux et de bâtiments du XVe siècle, dans lesquels se conservent les vestiges de l'église et du cloître bénédictins, et ils ont aussi survécu le couvent des Clarisses du XIIIe siècle et le clocher construit par Sixte IV. Le clocher roman, visible depuis le cloître de Sixte IV, s'élève parmi les structures modernes avec ses trois étages: le premier avec des fenêtres à meneaux sur pilier, les deuxième et troisième avec des fenêtres à trois meneaux sur colonnes et chapiteaux “béquilles”, c'est-à-dire trapézoïdale. Une rangée de briques légèrement saillantes souligne les arcs et poursuit sur les quatre côtés, tandis que la division des étages individuels est réalisée grâce à un élégant cadre en marbre.

Réglé en plusieurs parties, le clocher avait une cloche de 1238 fondue par Bartolomeo Pisano, aujourd'hui conservée avec d'autres cloches anciennes et quelques pièce archéologique, dans une zone qui précède l'ancienne salle capitulaire, à l'est du cloître.

Au XVe siècle, Sixte IV édifie l'étage supérieur: les arcs précédentes sont murés et d'autres sont remplacés par des piliers en maçonnerie, avec des arcs de déchargement; du côté sud, toujours pour bloquer la poussée de la voûte, de grands éperons en maçonnerie ont été insérés. Les arcs, à double virole, sont tous soutenus par des colonnes doubles, pour la plupart anciennes. La loge supérieure avait une série d'arcs en plein cintre soutenus par des piliers octogonaux. Celles-ci, encore visibles sur les deux côtés longs et sur le côté ouest, ont été en suite murées: on a aujourd'hui des fenêtres modernes. Du côté gauche du cloître, par un petit escalier, on accède au deuxième cloître, celui construit par Sixte IV: il a un plan carré, neuf arcs de chaque côté soutenus par des piliers octogonaux en travertin, enrichis de chapiteaux à motifs végétaux. Dans l'ordre supérieur, il y avait une loge architravée, marquée par des piliers octogonaux: plus tard, elle a été fermée et cette loge est maintenant occupée par des fenêtres modernes. Dans la cour intérieure, arrangé comme jardin, se trouve une citerne de l'époque de Pie IX.

Les origines
Les origines
En marchant dans l’histoire
En marchant dans l’histoire
L’architecture du complexe
l’architecture du complexe

Inauguré en 1970, le nouvel hôpital Marguerite repose sur des siècles d’histoire.
Sa naissance remonte à l’ancien monastère érigé au Xe siècle en l’honneur des saints et frères médicaux Cosma et Damien.

Inauguré en 1970, le nouvel hôpital Marguerite repose sur des siècles d’histoire.
Sa naissance remonte à l’ancien monastère érigé au Xe siècle en l’honneur des saints et frères médicaux Cosma et Damien.

Inauguré en 1970, le nouvel hôpital Marguerite repose sur des siècles d’histoire.
Sa naissance remonte à l’ancien monastère érigé au Xe siècle en l’honneur des saints et frères médicaux Cosma et Damien.

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L'hôpital du Nuovo Regina Margherita, exposé sur la place San Cosimato, est à proximité de l'ancienne église de San Cosimato du Xe siècle. Cette partie ancienne s'articule autour des deux cloîtres, le premier du XIIIe siècle tandis que le second du XVe siècle. Les sources nous disent la date et le nom du fondateur de l'Église: dans le Regesto Farfense on trouve comme date le Xe siècle et le fondateur serait Benedetto Campagna, un noble romain qui fonde le monastère pour les saints Cosma et Damiano. Cosma et Damiano étaient deux frères médecins, appelés anargiri (c'est-à-dire sans argent, car ils soignaient les pauvres gratuitement) décapités et enterrés sous Dioclétien en 303 près d'Antioche. Une plaque retrouvée sur ce site en 1892 nous informe également que la construction était terminée en 1069, année de la consécration du monastère par le pape Alexandre II. Il a été occupé par différents groupes: par les bénédictins camaldules en 1229, par les Poverelle, ou Clarisse, de Santa Chiara à partir de 1234 (par la volonté du pape Grégoire IX, peut-être à cause de la mauvaise gestion précédente confiée aux bénédictins). Grâce à l'argent de l'abbesse Jacopa Cenci, le bâtiment et l'église sont rénovés. En 1475, le pape Sixte IV, à cause de l'instabilité de la structure, il le fait reconstruire, avec une partie du monastère aussi. En 1891, le monastère, de siège conventuel, devient un hospice après l'acte de transfert et de livraison du monastère à la municipalité de Rome. Après cette date, la structure subit de nombreuses transformations: au début comme hôpital pour les personnes âgées malades et nécessiteuses, puis elle devient l'Hospice Umberto I à San Cosimato, tandis qu'en 1925 elle devient partie des Instituts Unis d'Assistance et de Charité de Rome; pendant les années soixante, on commence la construction de l'hôpital spécialisé en orthopédie et chirurgie rénové par l'architecte Alegani et l'ingénieur Secchi, et inauguré en 1970 sous le nom d'Ospedale Nuovo Regina Margherita, aujourd'hui toujours en activité.

L'hôpital du Nuovo Regina Margherita, exposé sur la place San Cosimato, est à proximité de l'ancienne église de San Cosimato du Xe siècle. Cette partie ancienne s'articule autour des deux cloîtres, le premier du XIIIe siècle tandis que le second du XVe siècle. Les sources nous disent la date et le nom du fondateur de l'Église: dans le Regesto Farfense on trouve comme date le Xe siècle et le fondateur serait Benedetto Campagna, un noble romain qui fonde le monastère pour les saints Cosma et Damiano. Cosma et Damiano étaient deux frères médecins, appelés anargiri (c'est-à-dire sans argent, car ils soignaient les pauvres gratuitement) décapités et enterrés sous Dioclétien en 303 près d'Antioche. Une plaque retrouvée sur ce site en 1892 nous informe également que la construction était terminée en 1069, année de la consécration du monastère par le pape Alexandre II. Il a été occupé par différents groupes: par les bénédictins camaldules en 1229, par les Poverelle, ou Clarisse, de Santa Chiara à partir de 1234 (par la volonté du pape Grégoire IX, peut-être à cause de la mauvaise gestion précédente confiée aux bénédictins). Grâce à l'argent de l'abbesse Jacopa Cenci, le bâtiment et l'église sont rénovés. En 1475, le pape Sixte IV, à cause de l'instabilité de la structure, il le fait reconstruire, avec une partie du monastère aussi. En 1891, le monastère, de siège conventuel, devient un hospice après l'acte de transfert et de livraison du monastère à la municipalité de Rome. Après cette date, la structure subit de nombreuses transformations: au début comme hôpital pour les personnes âgées malades et nécessiteuses, puis elle devient l'Hospice Umberto I à San Cosimato, tandis qu'en 1925 elle devient partie des Instituts Unis d'Assistance et de Charité de Rome; pendant les années soixante, on commence la construction de l'hôpital spécialisé en orthopédie et chirurgie rénové par l'architecte Alegani et l'ingénieur Secchi, et inauguré en 1970 sous le nom d'Ospedale Nuovo Regina Margherita, aujourd'hui toujours en activité.

Maintenant, le seul signe de la présence de l'ancien monastère sur la place homonyme de San Cosimato est le gracieux porche d'entrée  du XIIe siècle, qui permettait autrefois d'accéder à l'ensemble monastique. L'ensemble du complexe est très intéressant car il raconte siècles d'histoire de l'art: à l'intérieur de la cour triangulaire, au centre, on trouve une fontaine construite en 1731 en rassemblant diverses trouvailles romaines.

L'église est une petite salle à nef unique couverte de fresques, pourtant très ruinés, réalisés par de modestes artistes du XIXe siècle. Sur le maître-autel, il y a une icône moderne de style byzantin qui reprèsente la Vierge et l'Enfant: il s'agit d'une copie car l'original, du XIIIe siècle, a été transporté à l'Institut Central de Restauration; à côté du maître-autel, il y a une fresque détachée en représentant la Vierge avec San Francesco et Santa Chiara, œuvre d'Antonio del Massaro da Viterbo, aussi appelé Pastura, élève de Pinturicchio; cette œuvre vient de l'église de Santa Maria del Popolo, avec un certain nombre d'objets en marbre qui composent l'autel de la chapelle voisine de Santa Severa, et ces parties en marbre du XVe siècle sont attribuées soit à Bregno, soit à Gian Cristofaro Romano.

Le monastère possède deux cloîtres, le premier, médiéval, qui date autour de 1240, dont les murs sont enrichis d'une série de trouvailles en marbre qui vient généralement des différentes phases de construction/démolition du complexe. Le second cloître, plus haut que le premier, a été construit dans l'époque de Sixte IV mais, malheureusement, l'abandon et la mauvaise emploi de l'édifice l'ont endommagé et ça a rendu sa lecture et sa compréhension difficiles. Sous les arcades il y a des épigraphes, dont celles de l'abbé Odimondo, Margherita Maleti et Alba Ermenegilda Acquaroni, l'abbesse qui a réalisé des travaux en 1756, et aussi les fragments d'inscriptions, chapiteaux et sarcophages sont très intéressants.

Maintenant, le seul signe de la présence de l'ancien monastère sur la place homonyme de San Cosimato est le gracieux porche d'entrée  du XIIe siècle, qui permettait autrefois d'accéder à l'ensemble monastique. L'ensemble du complexe est très intéressant car il raconte siècles d'histoire de l'art: à l'intérieur de la cour triangulaire, au centre, on trouve une fontaine construite en 1731 en rassemblant diverses trouvailles romaines.

L'église est une petite salle à nef unique couverte de fresques, pourtant très ruinés, réalisés par de modestes artistes du XIXe siècle. Sur le maître-autel, il y a une icône moderne de style byzantin qui reprèsente la Vierge et l'Enfant: il s'agit d'une copie car l'original, du XIIIe siècle, a été transporté à l'Institut Central de Restauration; à côté du maître-autel, il y a une fresque détachée en représentant la Vierge avec San Francesco et Santa Chiara, œuvre d'Antonio del Massaro da Viterbo, aussi appelé Pastura, élève de Pinturicchio; cette œuvre vient de l'église de Santa Maria del Popolo, avec un certain nombre d'objets en marbre qui composent l'autel de la chapelle voisine de Santa Severa, et ces parties en marbre du XVe siècle sont attribuées soit à Bregno, soit à Gian Cristofaro Romano.

Le monastère possède deux cloîtres, le premier, médiéval, qui date autour de 1240, dont les murs sont enrichis d'une série de trouvailles en marbre qui vient généralement des différentes phases de construction/démolition du complexe. Le second cloître, plus haut que le premier, a été construit dans l'époque de Sixte IV mais, malheureusement, l'abandon et la mauvaise emploi de l'édifice l'ont endommagé et ça a rendu sa lecture et sa compréhension difficiles. Sous les arcades il y a des épigraphes, dont celles de l'abbé Odimondo, Margherita Maleti et Alba Ermenegilda Acquaroni, l'abbesse qui a réalisé des travaux en 1756, et aussi les fragments d'inscriptions, chapiteaux et sarcophages sont très intéressants.

Le complexe est une structure composée de bâtiments médiévaux et de bâtiments du XVe siècle, dans lesquels se conservent les vestiges de l'église et du cloître bénédictins, et ils ont aussi survécu le couvent des Clarisses du XIIIe siècle et le clocher construit par Sixte IV. Le clocher roman, visible depuis le cloître de Sixte IV, s'élève parmi les structures modernes avec ses trois étages, le premier avec des fenêtres à meneaux sur pilier, les deuxième et troisième avec des fenêtres à trois meneaux sur colonnes et chapiteaux “béquilles”, c'est-à-dire trapézoïdale. Une rangée de briques légèrement saillantes souligne les arcs et poursuit sur les quatre côtés, tandis que la division des étages individuels est réalisée grâce à un élégant cadre en marbre, qui faisait partie de la reconstruction d'un clocher plus ancien, réalisée à l'époque de Sixte IV. Réglé en plusieurs parties, le clocher avait une cloche de 1238 fondue par Bartolomeo Pisano, aujourd'hui conservée avec d'autres cloches anciennes et quelques pièce archéologique, dans une zone qui précède l'ancienne salle capitulaire, à l'est du cloître. Les deux cloîtres du monastère sont également importants: le premier de la Rome médiévale, de forme quadrangulaire, avec plus de 40 mètres dans les bras latéraux. Au XVe siècle, Sixte IV édifie l'étage supérieur: les arcs précédentes sont murés et d'autres sont remplacés par des piliers en maçonnerie, avec des arcs de déchargement; du côté sud, toujours pour bloquer la poussée de la voûte, de grands éperons en maçonnerie ont été insérés. Les arcs, à double virole, sont tous soutenus par des colonnes doubles, pour la plupart anciennes. La loge supérieure avait une série d'arcs en plein cintre soutenus par des piliers octogonaux. Celles-ci, encore visibles sur les deux côtés longs et sur le côté ouest, ont été en suite murées: on a aujourd'hui des fenêtres modernes. Du côté gauche du cloître, par un petit escalier, on accède au deuxième cloître, celui construit par Sixte IV: il a un plan carré, neuf arcs de chaque côté soutenus par des piliers octogonaux en travertin, enrichis de chapiteaux à motifs végétaux. Dans l'ordre supérieur, il y avait une loge architravée, marquée par des piliers octogonaux: plus tard, elle a été fermée et cette loge est maintenant occupée par des fenêtres modernes. Dans la cour intérieure, arrangé comme jardin, se trouve une citerne de l'époque de Pie IX.

Le complexe est une structure composée de bâtiments médiévaux et de bâtiments du XVe siècle, dans lesquels se conservent les vestiges de l'église et du cloître bénédictins, et ils ont aussi survécu le couvent des Clarisses du XIIIe siècle et le clocher construit par Sixte IV. Le clocher roman, visible depuis le cloître de Sixte IV, s'élève parmi les structures modernes avec ses trois étages, le premier avec des fenêtres à meneaux sur pilier, les deuxième et troisième avec des fenêtres à trois meneaux sur colonnes et chapiteaux “béquilles”, c'est-à-dire trapézoïdale. Une rangée de briques légèrement saillantes souligne les arcs et poursuit sur les quatre côtés, tandis que la division des étages individuels est réalisée grâce à un élégant cadre en marbre, qui faisait partie de la reconstruction d'un clocher plus ancien, réalisée à l'époque de Sixte IV. Réglé en plusieurs parties, le clocher avait une cloche de 1238 fondue par Bartolomeo Pisano, aujourd'hui conservée avec d'autres cloches anciennes et quelques pièce archéologique, dans une zone qui précède l'ancienne salle capitulaire, à l'est du cloître. Les deux cloîtres du monastère sont également importants: le premier de la Rome médiévale, de forme quadrangulaire, avec plus de 40 mètres dans les bras latéraux. Au XVe siècle, Sixte IV édifie l'étage supérieur: les arcs précédentes sont murés et d'autres sont remplacés par des piliers en maçonnerie, avec des arcs de déchargement; du côté sud, toujours pour bloquer la poussée de la voûte, de grands éperons en maçonnerie ont été insérés. Les arcs, à double virole, sont tous soutenus par des colonnes doubles, pour la plupart anciennes. La loge supérieure avait une série d'arcs en plein cintre soutenus par des piliers octogonaux. Celles-ci, encore visibles sur les deux côtés longs et sur le côté ouest, ont été en suite murées: on a aujourd'hui des fenêtres modernes. Du côté gauche du cloître, par un petit escalier, on accède au deuxième cloître, celui construit par Sixte IV: il a un plan carré, neuf arcs de chaque côté soutenus par des piliers octogonaux en travertin, enrichis de chapiteaux à motifs végétaux. Dans l'ordre supérieur, il y avait une loge architravée, marquée par des piliers octogonaux: plus tard, elle a été fermée et cette loge est maintenant occupée par des fenêtres modernes. Dans la cour intérieure, arrangé comme jardin, se trouve une citerne de l'époque de Pie IX.

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